samedi 21 janvier 2012

La grasse matinée dans les gènes ?



Nous ne sommes pas tous égaux devant le besoin de sommeil : les gros dormeurs -plus de huit heures par nuit- posséderaient une forme particulière d’un gêne dénommé ABCC9, que n’auraient pas ceux qui se contentent de quelques heures.

Bien sûr, le facteur génétique n’est pas le seul responsable de ces variations, les facteurs personnels ou environnementaux, comme le café ou le stress, restent les plus grands perturbateurs de nos nuits.